15. Bali, plastic beach
- Le voyageur de l'extrême !

- 24 févr.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 2 sept.
Voici le revers de la médaille. Bali, ses plages de sable blanc, bien sûr… et d’ordures ! Adorée des touristes, l’île paradisiaque indonésienne fait face à une marée de déchets plastiques, un problème annuel provoqué par la mousson et qui choque les touristes et avec raison. Vanté comme un paradis sur terre cet endroit de la planète est victime des courants marins qui amènent tous les déchets flottants du monde.

Le problème:
Déchets plastiques importants :
Bali est un contributeur majeur à la pollution plastique dans l’archipel indonésien et dans l’océan Indien.
Les rivières comme voies principales :
Les déchets plastiques s'écoulent de Java et d'autres régions d'Indonésie à travers les rivières et dans l'océan, pour finalement atteindre les plages de Bali.
Problèmes saisonniers :
Les pluies de mousson et autres changements saisonniers peuvent aggraver le problème, en déversant davantage de plastique sur les côtes.
Impact sur la faune :
La pollution plastique nuit à la vie marine, notamment aux poissons, aux tortues de mer et à d’autres créatures.
Tourisme et environnement :
La crise du plastique menace la réputation de Bali en tant que destination magnifique et vierge, impactant le tourisme.
La seule fois ou nous sommes allez à la mer durant notre séjour d'une semaine à Bali c'est quand nous avons fait de la plongée sou marine. Heureusement que nous avons découvert des plages paradisiaques dans les 2 mois précédant au cours de notre aventure ! Piscine et excursion on été nos activités. Notre plus grosse déception de l'Océanie.
Bali, bien que connue pour sa beauté, est confrontée à un défi de taille : une crise de pollution plastique . L'île est aux prises avec des quantités massives de déchets plastiques, dont une grande partie est rejetée sur le rivage par les rivières environnantes et la mer. Des organisations comme Pulau Plastik et Sungai Watch travaillent activement pour résoudre ce problème par le biais de campagnes, de changements de politique et de développement d’infrastructures . Il n'y a pas que Bali comme victime dans le monde.

Surtourisme ? Je dirais que non. Surpopulation ? Djakarta compte près de 30 millions d'habitants à elle seule et toute l'Asie du sud-est se déverse dans ce canal naturel de l'Océan indien. Bali est victime de l'évolution de l'homme qui ne comprendra jamais avant que tout cela débarque dans sa cour ! La planète est malade et le point de non retour a été franchi. Tout ce plastique se retrouvera un jour ou l'autre dans nos estomacs par le biais de la chaîne alimentaire naturelle.

Nul besoin de mettre d'avantage de photos. Nous croyons que le message est clair !
Par contre c'était un mal nécessaire pour sensibiliser à quel point l'homme détruit tout...même sa planète !






Commentaires