18. Les ruelles de Varanasi, zig-zag entre les bouses
- Le voyageur de l'extrême !

- 27 févr.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 4 sept.
Après avoir été choqué depuis le début de notre arrivée à Varanasi, nous nous disions que se promener librement dans les ruelles de la vieille ville tout en haut des Ghats qui mènent au fleuve du Gange nous épargnerait quelque peu les insalubrités monumentales des berges du fleuve.

Même après être débarqués du bateau nous croiserons nos premières clientes dans les escaliers qui mène en haut. Décidément on est pas sorti d'ici. Il faut faire le long parcours de bateau à l'inverse dans un labyrinthe de ruelles jusqu'à l'hôtel.

Une fois arrivés en haut, voilà un plein troupeau qui nous attend comme pour nous dire bienvenue à Varanasi ! Avec une odeur d'urine et de bouses de vaches ça promet tout un retour vers l'hôtel. Heureusement que nous avions un accompagnateur qui connaissait le chemin à prendre en cas de blocus bovin. Car ici si une vache prend la place, il n'est pas possible de négocier avec.

Les vaches sont sacrées en Inde, on en retrouve partout... même dans les petites ruelles. Comme elles sont partout, nous retrouvons également des bouses partout...même dans les petites ruelles...et voici notre première obstacle à notre parcours du combattant qui commence.

Sur le parcours un petit temple tout coloré faisait office de lieu de prière pour certains pèlerins venu s'y recueillir. L'histoire de celui-ci nous a échapper avec la course à obstacles en court. Il est beau et paisible.

Merde, en voilà une autre ! bien adossé au mur on l'a laissera passé son chemin et nous nous assurerons de ne pas marcher dans sa bouse fraîchement laissée plus loin dans la ruelle étroite. Décidément l'Inde est indescriptible.

Toute cette mésaventure nous a donné faim. Pas vous ? Nous serons quitte pour un bon repas sur le pouce et une nuit de sommeil bien mérité après avoir drainé toute notre énergie mentale dans cette ville qui était censé nous apporter le Nirvana spirituel et la paix intérieur. C'est plutôt le désordre mental et le choc psychologique que nous ramènerons en souvenir de Varanasi.

Si il y a encore du monde qui après avoir suivi notre mésaventure qui reflète tout les côtés des bienfaits du Fleuve Sacré du Gange et de sa Ville Sainte Bénarès (Varanasi) qui pense encore qu'il devrait y venir pour se purifier, je leurs dirait allez voir un psy !































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