10. premier contact indigène
- Le voyageur de l'extrême !

- 5 mars
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 8 oct.
Ce premier contact indigène se fera dans l'étonnement et le désarroi. Bien que j'aie déjà rencontré des gens, dans la vie de tout les jours, mais comme eux alors là jamais. Tu ressens ce contact avec la nature qu'ils possèdent, Ce sentiment inconnu, cette sensation qu'il n'appartient pas à notre civilisation. Pourtant il est humain, communique avec des langages ou dialectes, mais quelque chose ne le relie pas à notre vie humaine contemporaine. C'est gens on un mode vie, un mode pensée et une un concept de la vie qui est totalement hors de nos façons de faire. C'est comme un monde parallèle.

Le premier contact avec une tribu indigène de l'Amazonie peut varier considérablement en fonction de la tribu et de la situation spécifique. En général, les premiers contacts se produisent lorsqu'une personne ou un groupe autochtone, souvent d'une tribu isolée, entre en contact avec des personnes ou des groupes non autochtones. Ces contacts peuvent être de nature pacifique ou hostile, et peuvent mener à des changements significatifs dans la vie des tribus indigènes. Nos guides étant autochtones ils faciliteront les contacts.

Ici on ne s'approche pas des femmes ni ne faisons contacts. Le moment est immortalisé au téléobjectif (la raison du petit flou).
Comme nous n'avons pas encore été contrôlés par la marine brésilienne pour les zones à autorisations restreintes, les autochtones qui nous feront l'honneur de nous accueillir parmi eux sont comme qui dirait semi adaptés. Ce qui signifie qu'ils vivent en autarcie (isolé du monde civilisé) mais que certains, en général les chasseurs cueilleurs ont des contacts avec les non autochtones. C'est d'ailleurs avec eux que nous irons à la pêche. Ici tu participes à la pêche et à la chasse si tu veux manger.

C'est ici que je découvrirai quelque espèces de poissons disons épeurant ! En Amazonie, on retrouve plusieurs carnivores aquatiques, dont l'Arapaïma et le célèbre piranha qui vient en plusieurs variétés et en plusieurs formats...ici on ne parles pas de poisson d'aquarium ! La dentition coupante du Piranha donne froid dans le dos. À droite le Peacock Bass d'Amazonie. Ici-bas le Payara surnommé le poisson vampire. Les 2 dents inférieures s'insèrent dans deux orifices de la mâchoire supérieure ne laissant aucune chance à sa victime (ce dernier pêché depuis la rive par l'un des guides). Pour rien au monde je ne mettrais les pieds dans l'eau sachant tout ce qui nage là-dessous !

La pêche des indigènes fût meilleur que la nôtre en nombre de prises puisqu'ils ont pêché au filet, mais on a quand même eu du plaisir à sortir des combattants des eaux avec nos lignes de lancer léger. Ces premiers contacts nous aurons permis de comprendre un peu les enjeux de survie à lesquels ils font face avec une trentaine de bouches à nourrir quotidiennement.

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