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03. Cuenca, surnommée l'Athènes de L'Équateur

  • Photo du rédacteur: Le voyageur de l'extrême !
    Le voyageur de l'extrême !
  • 20 mars
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 3 oct.


Cuenca, surnommée l'Athènes de l'Équateur. Nichée à plus de 2 500 mètres d'altitude, au cœur de la cordillère des Andes, Cuenca m’a captivé dès les premiers instants. Son surnom, l’Athènes de l’Équateur, n’est pas usurpé : la ville respire la culture, l’histoire et l’élégance coloniale.







Mon arrivée à Cuenca s’est faite dans un décor enveloppé de brume andine. Les toits rouges en tuiles, les rues pavées, et les bâtiments aux balcons fleuris évoquent une Europe figée dans le temps… mais avec une âme bien équatorienne. J’ai flâné dans le centre historique, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, et découvert la majestueuse Catedral Nueva, avec ses coupoles bleues visibles à des kilomètres. Juste en face, la Catedral Vieja, plus modeste, témoigne des débuts de la ville au XVIe siècle.







L’héritage artistique et culturel. Le lendemain, j’ai visité le Musée des Cultures Aborigènes, une collection fascinante d’objets précolombiens. L’influence des civilisations Cañari et Inca y est omniprésente.







Puis direction le musée d’Art Moderne, dans un ancien asile reconverti : un contraste saisissant entre l’architecture coloniale et les œuvres contemporaines. Cuenca mérite bien son surnom : l'art y est vivant et omniprésent.







Artisanat et traditions. Impossible de quitter Cuenca sans parler de son artisanat. J’ai visité un atelier de chapeaux “Panama”, ces célèbres couvre-chefs qui, malgré leur nom, sont originaires de la région. Le savoir-faire des artisans est impressionnant : chaque chapeau peut nécessiter des jours de tressage minutieux.







Au marché de San Francisco, les étals débordent de textiles, d’objets en céramique et de bijoux en filigrane d’argent. J’ai aussi goûté au mote pillo, un plat à base de maïs sauté aux œufs et fromage, un régal simple mais typique.







À quelques kilomètres de la ville, j’ai exploré le Parc national El Cajas, un paradis pour les randonneurs. Entre les lagunes glaciaires, les páramos et les forêts de polylepis, j’ai eu l’impression de traverser plusieurs mondes à la fois. L’air y est pur, et le silence apaisant.







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