19. Puntarenas, la perle du Pacifique
- Le voyageur de l'extrême !

- 5 mars
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 1 sept.
La péninsule sur laquelle s'est établie Puntarenas présente une longueur de six kilomètres environ pour une largeur comprise entre 200 mètres et 600 mètres. Elle est reliée au continent par un isthme appelé localement Angostura, long d'un kilomètre et large de cinquante mètres laissant seulement la place à la route nationale 17 et à une voie de chemin de fer qui constituent le seul accès terrestre à la ville.

Puntarenas, c’est une langue de terre effilée qui s’étire paresseusement entre l’océan Pacifique et le golfe de Nicoya. Un lieu où le soleil règne en maître, où la mer vous entoure presque de tous côtés, et où la vie suit le rythme lent d’un après-midi sans fin.

Une ville entre deux eaux. À première vue, Puntarenas semble flotter, une étroite presqu’île bordée à l’est par le golfe tranquille de Nicoya et à l’ouest par les vagues du Pacifique. La plage longe l’avenue principale comme un tapis de sable brun, et les couchers de soleil, là-bas, embrasent tout l’horizon, de mur à mur.

Ambiance locale et vraie, ce n’est pas une station balnéaire brillante. C’est une ville authentique, populaire, avec ses vendeurs de granizados (glace pilée au sirop), ses familles en promenade sur le paseo de los turistas, ses pêcheurs qui rentrent au port à l’aube.

On y vient pour flâner au bord de l’eau, manger un ceviche frais sous un palmier ou prendre un ferry vers les plages paradisiaques de la péninsule de Nicoya.

Une porte d’entrée vers l’aventure. Puntarenas est aussi un port de croisière et un point de départ stratégique vers: Isla Tortuga pour une journée snorkeling sur des eaux turquoise, Monteverde : la forêt de nuages en contraste parfait avec la mer, Santa Teresa ou Malpaís via ferry : pour les plages de surf et les couchers de soleil dorés.



















Commentaires