11. Grand Palais de Paris
- Le voyageur de l'extrême
- 15 sept.
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Dernière mise à jour : 30 sept.
Une découverte au cœur de la ville. En quittant les rives de la Seine, mes pas m’ont mené jusqu’à l’un des monuments les plus élégants de Paris : le Grand Palais. Situé entre les Champs-Élysées et la Seine, il m’a tout de suite fasciné par sa façade majestueuse mêlant style classique et modernité architecturale.
Construit pour l’Exposition universelle de 1900, ce palais semble hors du temps, avec ses colonnades immenses, ses sculptures monumentales, et surtout son incroyable toit en verre et en acier, qui capte la lumière comme un joyau. La nef principale, véritable cathédrale de verre.
Ce que j’ai appris sur place m’a passionné : le Grand Palais a servi tour à tour de lieu d’exposition, d’hôpital militaire pendant la guerre, puis de décor pour des défilés de haute couture. Aujourd’hui encore, il accueille des expositions majeures, des foires artistiques (comme la FIAC), et même des événements sportifs ou culturels.
Trois géants dans la ville. Bolívar, Churchill et De Gaulle – Figures de bronze à Paris. Un coin discret, une présence imposante. En me promenant non loin des Champs-Élysées, entre les jardins et les grandes avenues, je suis tombé sur un petit détail de l’histoire mondiale figé dans le bronze : trois statues monumentales, presque en ligne droite, représentant Simón Bolívar, Winston Churchill et Charles de Gaulle. C’est comme une garde d’honneur silencieuse, dressée dans les rues de Paris. Chacun, dans son style, raconte un pan de l’histoire du XXe siècle, et même au-delà.
De Gaulle, Le marcheur. Devant le Grand Palais, la statue du général De Gaulle avance d’un pas déterminé. Il n’est pas figé : il marche, hautain et résolu, le regard porté vers l’avenir. Sa silhouette est connue : le képi, la veste militaire, la stature
Churchill, Le roc. Quelques mètres plus loin, Winston Churchill, plus trapu, donne l’impression d’un roc. Il tient fermement sa canne, vêtu de son long manteau, et semble prêt à affronter les tempêtes.
Bolívar, Le libérateur. Un peu plus à l’écart, près de la Seine, la statue de Simón Bolívar trône fièrement sur son cheval. Le héros de l’indépendance sud-américaine est représenté comme un conquérant idéaliste. Sabre levé, il regarde l’horizon comme s’il guidait encore des peuples vers la liberté.
Cette verrière gigantesque, haute de plus de 40 mètres, donne une impression de grandeur infinie. On se sent tout petit à côté de ce gigantesque monument.
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