01. En route vers Paris
- Le voyageur de l'extrême

- 24 sept.
- 2 min de lecture
Il est tôt ou tard, on ne sait plus. Après avoir croiser le soleil vers 23h au dessus de l'océan, l’avion a atterri. La douane, le ramassage des valises et hop, en direction de la sortie. Les portes automatiques se sont ouvertes… et montons dans un taxi. Un Paris inconnu nous attends, dehors, derrière la vitre. Dans le taxi, le monde ralentit. Le chauffeur demande : « Où on vous emmène ? » La réponse: « Au Villa Eiffel Garibaldi dans le 15e arrondissement. » Et puis, nous partons. Pas vite, pas lentement. Juste au rythme de la ville.
Les premières images de Paris. Les autoroutes s’effacent. Les panneaux "Périphérique", "Porte de…" s’enchaînent. Peu à peu, la ville prend forme : les immeubles se resserrent, les feux tricolores clignotent, on reconnait sans vraiment connaître : des kiosques à journaux endormis, des boulangeries qui s’illuminent, un café déjà ouvert, fumée en terrasse. Et soudain, la Tour Eiffel, entre deux rues, comme une apparition floue dans le pare-brise. L''euphorie gagne un cran.

Photo gracieuseté de la Villa Eiffel Garibaldi
Arrivée à l'hôtel ,
Le taxi s’arrête dans une rue tranquille du 15ᵉ arrondissement. Ni foule, ni bruit. Juste un coin de Paris qui respire lentement. Une façade discrète, des volets sobres, un petit auvent avec le nom : Villa Eiffel Garibaldi. Premiers instants à l’hôtel. À l’intérieur, une atmosphère douce. Silence feutré, accueil chaleureux. Une réceptionniste souriante nous salue. Je donne nos noms et faisons notre enregistrement.

Photo gracieuseté de la Villa Eiffel Garibaldi
Le hall d'entrée décoré d'un bar avec ses tables donne un air de bistrot pour agrémenter les soirées après les journées de visites et de marches dans la ville lumière. Petit havre de paix pour les fins de journée.

Photo gracieuseté de la Villa Eiffel Garibaldi
Un ascenseur étroit, un couloir calme, une moquette moelleuse sous les pas. La chambre : notre îlot parisien. Petite mais bien pensée. Une fenêtre qui s’ouvre sur les toits, des rideaux clairs, deux lits accueillants. Une table, une lampe, un miroir, une bouilloire pour le thé. Nous avons appris comment vivre les français à Paris...à l'étroit. Semblerait que les appartements sont également très étroites et faites sur le long à Paris. Une énorme différence d'espace vitale avec l'Amérique du Nord.

Photo gracieuseté de la Villa Eiffel Garibaldi
Enfin les petits déjeuners sont classes mais rien de comparable avec la Suisse, l'Allemagne ou l'Autriche. Avec une vue du quartier la salle à manger est très bien éclairée par la lumière du jour ce qui donne un beau réveil avec le café du matin.

Photo gracieuseté de la Villa Eiffel Garibaldi
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