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05 New-York, la grosse pomme

  • Photo du rédacteur: Le voyageur de l'extrême !
    Le voyageur de l'extrême !
  • 17 mars
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 19 oct.



New York, La Grosse Pomme. On l’appelle "The Big Apple", la Grosse Pomme, surnom étrange et savoureux à l’image de cette ville qui ne dort jamais. Pourquoi une pomme ? Parce que dans les années 1920, les jazzmen et les turfistes disaient que New York était "la grosse pomme à croquer" le sommet, le rêve, la scène ultime. Et ils avaient raison. New York officiellement nommée City of New York et connue également sous les noms et abréviations de NYC.







New York, c’est une ville-monstre, une ville-monde. Elle ne se laisse pas visiter : elle se vit. Elle vous bouscule, vous dépasse, vous avale, puis vous recrachera, plus vivant que jamais. Un choc vertical : Manhattan. Arriver à Manhattan, c’est lever les yeux et perdre le souffle. Les gratte-ciel jaillissent comme des flèches de verre et d’acier. L’Empire State Building, le One World Trade Center, ou encore le mythique Chrysler Building, tous racontent une Amérique qui a voulu toucher le ciel.







Mais New York ne se résume pas à sa skyline. Elle se glisse dans les bouches de métro, les fire escapes rouillés, les taxis jaunes, les odeurs de hot-dogs et de falafels. Chaque quartier est un monde : Harlem, berceau de la culture afro-américaine. SoHo, paradis des artistes et des galeries. Wall Street, théâtre du capitalisme global. Chinatown, microcosme en mandarin. Central Park, poumon vert au milieu du chaos.







Brooklyn, Queens, Bronx et Staten Island, Les autres visages. La Grosse Pomme ne se limite pas à Manhattan. Brooklyn est aujourd’hui le cœur battant de la créativité : bars alternatifs, friperies, cafés où s’écrit la poésie du XXIe siècle. Le Queens est l’arrondissement le plus ethniquement diversifié des États-Unis. On y entend plus de 160 langues.







Le Bronx, autrefois stigmatisé, est le berceau du hip-hop et d’une culture urbaine fière et rebelle. Staten Island, plus discret, offre des vues imprenables sur la skyline depuis le ferry gratuit, et un calme presque champêtre. Culture, arts et excès. New York est un théâtre à ciel ouvert. Sur Broadway, les plus grandes comédies musicales font salle comble. Au Metropolitan Museum ou au MoMA, l’histoire de l’art dialogue avec l’avant-garde.







Dans les clubs de Greenwich Village, le jazz renaît chaque soir dans la pénombre. Et puis il y a Times Square, frénétique, saturée de néons, de touristes, de selfies, de lumière. On l’aime ou on la fuit, mais on ne l’oublie pas. Une bouchée de monde. À New York, manger est un acte culturel. Tu peux déjeuner coréen à Flushing, grignoter un bagel juif à Williamsburg, t’offrir une pizza à 1 $ à East Village, puis finir dans un speakeasy japonais à Nolita. Chaque bouchée est une frontière franchie.







New York, ville de tous les possibles. New York, c’est une promesse. Celle que tout peut arriver, que tout est encore possible.

C’est la ville des commencements, des secondes chances, des rencontres improbables, des rêves trop grands. On y arrive avec une image en tête. On en repart avec des histoires plein les poches.






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